d'Aminata Sow Fall
Quatrième de couverture:
Le cinquième roman d'Aminata Sow Fall, Le Jujubier du patriarche, nous plonge dans la complexe mémoire africaine, tissée autour d'un chat, le chant qui célèbre les lignées des héros antiques, des bâtisseurs et des grands guerriers.
L'enjeu de la mémoire c'est la place qui revient aujourd'hui à chacun au sein de la société. Mais le tissage peut aussi être déchiré par l'intrusion du monde " moderne " qui suit les Indépendances... Un foisonnement de personnages, de temps, de castes, et partout, toujours, les mots qui figent ou qui brisent. Narrations et dialogues, paroles de griots, de femmes, de chefs nous emmènent en procession jusqu'au jujubier du patriarche où devra s'accomplir la renaissance.
Mon avis:
La mention de "paroles de griots" m'a donné envie dans cette quatrième de couverture, sans doute à cause de Racines d'Alex Haley, mais je n'ai pas retrouvé ici cette magie des mots qui portent toute l'histoire d'un peuple. En tout cas pas tout le long du roman.
Je suis certainement trop éloignée de cette culture pour avoir pu accéder au sens de ce texte, à moins que ce soit le style de l'auteur qui ne m'ait pas plu. J'ai été perdue dans les personnages et la notion de familles dont certains sont esclaves des autres depuis des générations et malgré les liens ambigus et les drames qui se jouent, je n'ai pas du tout été prise par le texte. Le poids et la force de nos croyances est un sujet qui me touche pourtant particulièrement.
Une note positive sur la fin tout de même avec ce pèlerinage vers le Jujubier du Patriarche, la légende de leurs ancêtres et ce poème, présent tout le long du roman, qui nous est enfin offert.
Quatrième de couverture:
Le cinquième roman d'Aminata Sow Fall, Le Jujubier du patriarche, nous plonge dans la complexe mémoire africaine, tissée autour d'un chat, le chant qui célèbre les lignées des héros antiques, des bâtisseurs et des grands guerriers.
L'enjeu de la mémoire c'est la place qui revient aujourd'hui à chacun au sein de la société. Mais le tissage peut aussi être déchiré par l'intrusion du monde " moderne " qui suit les Indépendances... Un foisonnement de personnages, de temps, de castes, et partout, toujours, les mots qui figent ou qui brisent. Narrations et dialogues, paroles de griots, de femmes, de chefs nous emmènent en procession jusqu'au jujubier du patriarche où devra s'accomplir la renaissance.
Mon avis:
La mention de "paroles de griots" m'a donné envie dans cette quatrième de couverture, sans doute à cause de Racines d'Alex Haley, mais je n'ai pas retrouvé ici cette magie des mots qui portent toute l'histoire d'un peuple. En tout cas pas tout le long du roman.
Je suis certainement trop éloignée de cette culture pour avoir pu accéder au sens de ce texte, à moins que ce soit le style de l'auteur qui ne m'ait pas plu. J'ai été perdue dans les personnages et la notion de familles dont certains sont esclaves des autres depuis des générations et malgré les liens ambigus et les drames qui se jouent, je n'ai pas du tout été prise par le texte. Le poids et la force de nos croyances est un sujet qui me touche pourtant particulièrement.
Une note positive sur la fin tout de même avec ce pèlerinage vers le Jujubier du Patriarche, la légende de leurs ancêtres et ce poème, présent tout le long du roman, qui nous est enfin offert.
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