de Stefan Zweig
Quatrième de couverture:
Scandale dans une pension de famille « comme il faut », sur la Côte d'Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d'un des clients, s'est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n'avait passé là qu'une journée. Seul le narrateur tente de comprendre cette «créature sans moralité », avec l'aide inattendue d'une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez elle. Ce récit d'une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l'auteur d'Amok et du Joueur d'échecs, est une de ses plus incontestables réussites.
Mon avis:
C'est le troisième texte de Zweig que je lis et tout comme Le joueur d'échecs et La confusion des sentiments, je l'ai trouvé très intéressant.
En effet, en essayant de comprendre l'attitude de Mme Henriette qui s'est enfuie avec un homme abandonnant mari et enfants, notre narrateur va se montrer digne de recevoir la confession d'une autre pensionnaire. Après des années celle-ci va enfin lever le voile sur cette journée incroyable de sa jeunesse, ces 24 heures pendant lesquelles tout s'est joué pour elle.
J'ai apprécié le point de vue de l'auteur qui ose mettre à mal les idées préconçues et redonne toute la place à ces émotions qu'on ne peut toujours endiguer et qui peuvent parfois prendre le contrôle de tout notre être.
Je n'ai pour autant pas encore été complètement emballée par le texte, et même si certains passages m'ont plu (j'ai beaucoup aimé les mains notamment), je suis restée un peu réfractaire à l'émoi incontrôlable qui s'empare de cette jeune femme à l'idée de sauver ce bel inconnu.
Je conclus donc comme j'ai commencé, j'ai trouvé ce texte intéressant!
Quatrième de couverture:
Scandale dans une pension de famille « comme il faut », sur la Côte d'Azur du début du siècle : Mme Henriette, la femme d'un des clients, s'est enfuie avec un jeune homme qui pourtant n'avait passé là qu'une journée. Seul le narrateur tente de comprendre cette «créature sans moralité », avec l'aide inattendue d'une vieille dame anglaise très distinguée, qui lui expliquera quels feux mal éteints cette aventure a ranimés chez elle. Ce récit d'une passion foudroyante, bref et aigu comme les affectionnait l'auteur d'Amok et du Joueur d'échecs, est une de ses plus incontestables réussites.
Mon avis:
C'est le troisième texte de Zweig que je lis et tout comme Le joueur d'échecs et La confusion des sentiments, je l'ai trouvé très intéressant.
En effet, en essayant de comprendre l'attitude de Mme Henriette qui s'est enfuie avec un homme abandonnant mari et enfants, notre narrateur va se montrer digne de recevoir la confession d'une autre pensionnaire. Après des années celle-ci va enfin lever le voile sur cette journée incroyable de sa jeunesse, ces 24 heures pendant lesquelles tout s'est joué pour elle.
J'ai apprécié le point de vue de l'auteur qui ose mettre à mal les idées préconçues et redonne toute la place à ces émotions qu'on ne peut toujours endiguer et qui peuvent parfois prendre le contrôle de tout notre être.
Je n'ai pour autant pas encore été complètement emballée par le texte, et même si certains passages m'ont plu (j'ai beaucoup aimé les mains notamment), je suis restée un peu réfractaire à l'émoi incontrôlable qui s'empare de cette jeune femme à l'idée de sauver ce bel inconnu.
Je conclus donc comme j'ai commencé, j'ai trouvé ce texte intéressant!
Je l'ai lu également et tout comme toi j'ai passé un moment sans pour autant trouver ce live extraordinaire :) J'en profite d'ailleurs pour te présenter tous mes voeux pour cette nouvelle année. Bises !
RépondreSupprimermerci pour tes voeux, et ton passage par ici! Belle année à toi aussi!!
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